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  • Photo du rédacteurEd Arty

Aimer être consultant

Etre consultant, comme c'est compliqué !


Il faut accepter d'être affecté sur une mission dont on ne connaît quasiment rien, parfois malgré l'envie et l'impossibilité de refuser. Bref, cela peut être vu comme une contrainte, un esclavage vécu par chacun des prestataires des cabinets de conseil (et des ESN ou SSII).


Il va en plus falloir s'adapter à un contexte, à d'autres consultants, à des jeux de pouvoir et d'influences déjà en place.


Et puis assurer le job : faire ce pourquoi on a été missionné, tout en évitant les erreurs d'appréciation parce qu'on connaît mal le contexte ou qu'on a subi une influence.

La conclusion pourrait hâtivement être celle-ci : le consultant est un esclave balloté d'une mission à l'autre.

Et qu'en est-il de l'employé bloqué dans son poste et dans la même entreprise ? Les années passant, il s'est enfermé dans des compétences ciblées et n'a pas tant évolué que cela.


Le consultant apporte son niveau et sa capacité d'adaptation.


Lui-même doit le prendre comme un jeu, un plaisir et moment où il va apprendre et encore améliorer ses compétences.

Tout est question de posture.

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